Ce château est situé entre l'antique voie romaine d'Aginum à Tolosa et le canal latéral à la Garonne.
Généralement, les mothes médiévales étaient construites en bois. Elles comprenaient au premier plan la basse cour où se réfugiait, en cas d'attaque, toute la population de la région avec ses biens les plus précieux.
En 1927, Louis-Pierre Alezay avait écrit une monographie de la commune de Boé dans laquelle une notice était consacrée à La Mothe de Pélissier.
Elle est le dernier vestige témoignant de l’importante activité maritime du port de Boé sur la Garonne au Moyen Âge, et jusqu’au début du XIXe siècle.
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